« Je pense que le citoyen torontois modèle du futur parlera anglais, français, en plus de sa langue maternelle s’il vient d’ailleurs. Je crois que le français est essentiel dans cette trilogie, car c’est au cœur de l’expérience canadienne, mais c’est aussi une langue internationale », affirme Norm Kelly, qui confie avec fierté que ses deux enfants parlent le français et que ses petits-enfants l’apprennent.
« Quand le français fait un pas en avant à Toronto, il fait également un pas en avant au Canada. » – Norm Kelly, conseiller municipal de Toronto.
M. Kelly se dit très fier de pouvoir compter sur une communauté francophone organisée et présente à Toronto. « Lorsque je rencontre des collègues des autres villes, je leur dis que je viens du centre de l’univers. Et on ne peut pas venir du centre de l’univers s’il n’y a pas une composante francophone à notre Ville », lance-t-il.